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LE MOT SQUAW

  Une squaw est le mot désignant une femme ou une jeune fille cher les amérindiennes d’amérique du nord?

Vrai et/ou faux!

explication:

Une généralitée a été faite sur ce mot comme étant utiliser pour désigner une femme ou fille en langue indienne. Or, il n’existe pas de langue indienne mais de multiples comme le lakota, le navajo, cherokee, oneida, hopi, commanche, etc… Seule cette chose est congrée. Pour le reste plusieurs hypothèse faisant polémiques sur la signification de ce mot circule. En voici les causes et les explications. Vous laissant seul juge de votre opinion. 

 

*Le mot «sqwa» utilisé par certains aujourd’hui pour désigner la femme est un mot créé de toute pièce par les premiers envahisseurs Européens qui aurait mal interprété ce qu’ils avaient entendu.  Ils en ont fait de même avec les noms de plusieurs des Nations qu’ils ont rencontré.

 

 

*Dans le la langue Haudenausaunee (d’origine iroquoise) ce mot désigne les organes génitaux féminins et est aussi utilisé pour désigner une «prostituée».

 

*Ce qui ressemble le plus au mot «sqwa» est le suffixe ou préfixe «sqw» est de la famille linguistique Anishinaabe.  Il désigne le féminin chez la femme ou chez l’animal.  Dans ce cas, il ne s’utilise que s’il fait parti du mot au début ou à la fin, comme le «ée» à la fin d’un mot en français pour désigner le féminin.  «Sqw» ne peut être utilisé seul.  Utilisé seul, ce n’est pas un mot de la famille linguistique Anishinaabewin.
Rappelez-vous que les Nations Anishinaabe ont été parmi les premiers peuples à rencontrer les Européens.

 

 

  Dans les quotidiennes, on nous du que le mot squaw va être bannie des films. Voir ici.

 

Tout est question de linguistique. Il semblerai que seul dans  les langues d’origines ou dérivés de l’algonquiennes  aurait une signification en se sens. Mais pas toutes. Et que vu la complexité de ces langues et le temps passant, il ne reste plus grandes traces du sens de ce mot.

  Squaw est l’orthographe phonétique de l’Est algonquiens morphème indien, qui signifie «femme», qui apparaît dans de nombreux dialectes algonquiens diversement orthographié comme carrés, skwa, esqua, sqeh, skwe, que, kwa, Ikwe, etc tant que la langue anglaise de prêt – mot, utilisé comme substantif ou adjectif, son sens est une des femmes de l’Amérique du Nord, indépendamment de la tribu. Le terme a été considéré comme offensant, souvent depuis la fin du 20e siècle.

 

Division de la famille

Cette grande famille de 27 langues est généralement divisé grosso modo en trois grands groupes. Elles sont les suivantes: Central, plaines, et de l’Est algonquiens, principalement hors de commodité. Seul l’Est constitue un véritable algonquiens génétiques sous-groupe. Les langues sont énumérés ci-dessous (les dialectes et subdialects sont inscrites à la centrale algonquiens, plaines algonquiennes et orientale algonquiens pages).

 

A. Plaines

1. Pieds-Noirs

2. Arapahoan (y compris les Arapaho bon, Gros Ventre (AKA Atsina), Nawathinehena, et Besawunena)

3. Cheyenne

B. centrale

4. Cree-Montagnais

5. Menominee (également connu sous le nom de Menomini)

I. Grands Lacs de l’Est (aussi connu sous le nom de Core Central)

a. Ojibwe-Potawatomis (également connu sous le nom de Ojibwe-Potawatomis-Ottawa, Anishinaabemowin, Anishinaabe ou la langue)

6. Ojibwa-Ottawa (également connu sous le nom de Ojibwe, Ojibwa, Ojibway, ou de la langue Anishinaabe)

7. Potawatomis
8. Fox (également connu sous le nom de Fox-Sauk-Kickapoo ou Mesquakie-Sauk-Kickapoo)

9. Shawnee

10. Miami-Illinois

C. Est

11. Mi’kmaq (également connu sous le nom des Micmacs, des Micmacs, Mi’gmaq ou Mi’kmaw)

I. Abenahian

12. Abenaki orientale (aussi connue sous le nom de Abenaki ou Abenaki-Penobscot)

13. Abenaki occidentale (aussi connu sous le nom de Abnaki, St. Francis, des Abénakis, ou Abenaki-Penobscot)

14. Maliseet (également connu sous le nom de Maliseet-Passamquoddy ou Malécites-Passamquoddy)
15. Etchemin (incertain – Voir Note 1)

II. Southern New England

16. Massachusett (également connu sous le nom de Massachusett-Narragansett)

17. Loup A (probablement Nipmuck) (incertain)

18. Loup B (incertain – Voir Note 1)

19. Mohegan – Pequot

20. Quiripi-Naugatuck-Unquachog (également connu sous le nom de Quiripi-Unquachog)
III. Delawarean

21. Mahican (également connu sous le nom de Mohican)

i. Lenape (également connu sous le nom de Delaware)
     22. Munsee

     23. MANUI

24. Nanticoke

25. Piscataway (également connu sous le nom de Conoy)

26. Algonquiens Caroline (également connu sous le nom de Pamlico, Pamtico, Pampticough, Christianna algonquiennes)

27. Powhatan (également connu sous le nom de Virginia algonquiennes)

28. Shinnecock (incertain)

 

Le mot pour désigner une femme dans quelques langues indiennes d’amérique du nord:

Chez les cherokees: agehya

                  sénécas: yakökwe

     susquehannocks: Achonhaeffi

                 mohawks: yakonkwe

          sioux/lakotas: winyan

                   navajos: asdzáán

                      hopis: wùuti

                    kiowas: Ma

                 ntachezs: Tahmahl

anishinaabe (Algonquin):ikwe

 

Pour encore plus de traduction voir ici

 

Pour conclure, je pense que seul le sens que l’on veut lui donner est le bon. Suivant le point de référence de départ que l’on va lui prendre.

 

Voir aussi:

Lien 1

Lien 2

Lien 3

LEGENDE OU REALITE

1-Les amérindiens n’aiment pas qu’on les nommes ainsi ?

  Cette question est souvent formulée par souci du politiquement correct, mais, dans bien des cas, elle est vraiment sincère. Les milieux universitaires semblent avoir une préférence marquée pour les termes de Native American. Mais beaucoups  d’Indiens y sont indifférents, amérindien, indien et indien-américain, parfois même dans la même phrase.

Russell Means a dit lors d’un discourt "je préfère l’étiquette ‘Indien” à la plus politiquement correcte “Native American”. “Quiconque est né dans l’Amérique est originaire d’Amérique”

Mais beaucoup aiment se faire appeler "NATVE"

 

2-Ils bénéficient de privilèges et d’un statut  particuliers ?  

L’un des stéréotypes extrêmement répandus est que les Amérindiens bénéficient de privilèges particuliers auxquels les autres Américains n’auraient pas droit. Ainsi, nous aurions droit à l’éducation gratuite, aux soins médicaux gratuits et à des allocations. Beaucoup de gens croient même que les Indiens ne paient pas d’impôts. La réalité est beaucoup plus complexe.
Ceux qui s’offusquent de ces "privilèges particuliers" ne comprennent pas la nature de la relation qui existe entre les tribus indiennes et le gouvernement fédéral. Les tribus ont signé des traités avec le gouvernement américain en échange de la cession de leurs terres. Par conséquent, beaucoup de ces "privilèges" sont en fait des obligations découlant des traités.
Dans les nombreux traités (dont certains sont pas et non jamais étaient  honorés pas les E-U) que les tribus ont signés avec les autorités fédérales, certaines clauses précisaient que le gouvernement garantirait aux tribus l’éducation et les soins médicaux en échange de toutes les terres ancestrales cédées par les Indiens. L’éducation et les soins médicaux dont nous bénéficions actuellement ont donc été "achetés et payés" par nos ancêtres. Certains membres des tribus sont effectivement exemptés de certains impôts. Mais la raison en est à la fois logique et juridique. Les réserves fédérales ne font pas partie des Etats sur lesquels elles sont implantées. Les Indiens­ Américains vivant et travaillant sur telle ou telle réserve n’ont donc pas à s’acquitter de certains impôts étatiques. En revanche, ils paient d’autres impôts, par exemple l’impôt fédéral sur le revenu.

-Car il ne faut jamais oublier que les tribus Amérindiennes sont des nations. Elles s’administrent comme des nations, sous la tutelle du B.I.A.

 

-Les Amérindiens sont citoyens américains depuis 1924, avec tous les droits et les devoirs des autres américains.
Ils votent à tous les échelons de la démocratie américaine : comté, état, congrès fédéral et élection du président.

-Les Amérindiens sont assujettis aux mêmes impôts que les autres américains, à moins qu’un traité ou une disposition particulière ne les en exemptent. Ce qui est très souvent le cas. L’impôt foncier, notamment, n’existe pas dans les réserves. La propriété de la terre et des ressources naturelles y est presque toujours collective, sous la protection de la loi (Indian Act de 1935).

 

3- Les amérindiens ont été les premiers à cultiver les haricots?

Vrai, avec beaucoup d’autres légumes, tel que le maïs, la tomate, la cacahuète, le potiron et toute sortes de haricots.

 

4- On aurait put parler français dans nord-est des E-U ?

Effectivement, on aurait put parler français si les Iroquois n’avait pas tenu tête au français au XVIIe siècle.

 

5- Le sud-ouest des E-U aurait put être mexicain ?

Si les commanches ne s’étaient pas opposés aux espagnols.

 

6-II s’agit d’une population en voie de disparition ?

Pas du tout. En juillet 2003, le nombre d’Indiens et d’autochtones de l’Alaska ou de personnes était estimé à environ 4,4 millions de personnes pour l’ensemble des Etats Unis. On est donc loin d’une population en voie de disparition !

 

7- Les amérindiens ressemble à peu prêt au indiens que l’on voit peu voir dans les westerns ?

Certains oui! Mais en aucun cas on la peau rouge (cette expression vient du fait que certaines tribus arboraient de la peinture de guerre de couleur rouge). Mais ceux-là reste une minorité à avoir des cheveux longs tressés, être mince avec la peau brune. Beaucoups ont sont de type africain, blond, les yeux bleu… loin des stéréotype.

 

 8-Tous les indiens vivent dans les réserves ?

Il y a 193 reserves  repartient sur tout le territoire des E-U. 538 000 Indiens-Américains et d’Alaska, de sang pur ou métissé, vivent dans des réserves ou territoires spéciaux. Ce nombre inclus les personnes vivant sur les territoires Indiens historiques en Oklahoma et sur les réserves des Etats. Mais 57% des Indiens-Américains et des autochtones de l’Alaska vivent dans des zones urbaines. Il est toutefois exact que, dans certains Etats de l’ouest des Etats-Unis comme le Montana, le Dakota du Sud, l’Arizona, le Nouveau-Mexique et l’Utah, la majorité des Indiens vivent dans ou à proximité d’une réserve indienne.

 

9-